IL A DEJA TES YEUX

by Olivier Descoins

Le 16 janvier dernier, les invités de l’avant-première du film « Il a déjà tes yeux » ont dû braver le froid polaire parisien et patienter sagement devant le cinéma Publicis, avenue des Champs-Elysées pour découvrir ce qui s’annonce être la comédie de l’année.
Toute l’équipe du film avait répondu présent et n’aurait manqué pour rien au monde la sortie de son nouveau « bébé ».
Lucien Jean-Baptiste, le réalisateur du film, ne pouvait plus lâcher son micro tant il tenait à remercier absolument tout le monde.
Aïssa Maïga, très élégante dans sa petite jupe patineuse grise très « fifties », déclarait toute guillerette « avoir adoré tourner sous sa direction ».
A l’issu de la projection, les invités se sont retrouvés pour une after party au très chic cabaret Le Raspoutine organisée de main de maître par le tandem David Setrouk et David Koskievic de Five Eyes Production.
On a pu croiser la toujours ravissante Gabrielle Lazure ainsi que Philippe Cura accompagné de son épouse, Firmine Richard, la révélation de « La première étoile », Shirley et Dino, Saïda Jawad en grande forme, Dimitri Storoge et Virginie de Clausade, dont l’excellent livre « De bruit et de fureur » a reçu un accueil dithyrambique lors de sa sortie, Lola Dewaere décidemment de toutes les fêtes et bien sûr toute l’équipe du film, Sara Mortensen, Vincent Elbaz, Lucien Jean-Baptiste, Delphine Théodore et l’irrésistible Marie Philomène Nga.
LE PITCH
Paul et Sali sont mariés et tout irait pour le mieux dans leur vie s’ils parvenaient à avoir un enfant. Un jour, Sali reçoit enfin l’appel qu’ils attendaient depuis longtemps : leur dossier d’adoption est enfin approuvé. Le bébé est un magnifique petit blondinet de six mois aux yeux bleus prénommé Benjamin.
Il est blanc… ils sont noirs… Pour la famille de Sali, c’est un choc…
Une très jolie comédie sur l’acceptation de soi et des autres qui sait slalomer entre les clichés.
A noter la performance de Vincent Elbaz, qui nous montre une fois de plus qu’il est un  acteur d’exception, Zabou Breitman en assistante sociale trop zélée est impeccable comme toujours, et on est heureux de retrouver au cinéma Laurence Oltuski dans une des scènes les plus drôles du film.